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LES EAUX THERMALES
DANS L'ALLIER et Départements Limitrophes

Sources :
- Statistique générale et particulière de la France et de ses colonies, Tome 3, Chez F. Buisson, Imprimeur-Libraire, rue Hautefeuille n°20, An XII (1803)
- Essai sur les eaux thermales de Saint Honoré par G.F.Milien, Imprimerie Le Coq Auxerre, 1815
- Les principales sources d'eaux minérales de France, par Mr el Docteur J.Ch.Herpin, Paris librairie de Victor Masson, 1856
- Notice sur les eaux thermales de Neris, par M. Richon des Brus, 1855

Burge-les-Bains (Bourbon-l'Archambault)
Vichy
Neris-les-Bains
Bellevue-les-Bains (Bourbon-Lancy en Saone-et-Loire)
Pougues (58)
Chateldon (63)
Saint Honoré (58)
Mont-D'Or (Mont-Dore dans le 63)
Saint Myon (63)

Burge-les-Bains est situé à 30 kilomètres de Moulins (6 lieues) et à 325 kms (65 lieues) de Paris. Ses eaux minérales, extrêmement chaudes, ont une grande réputation.
Ses eaux contiennent du muriate de soude, du sulfate de soude, du sulfate de chaux, du fer et du bitume en très petites quantités. Elles provoquent la transpiration lorsqu'elles sont bues en grande quantité. Les eaux de Burge se prennent aussi en bains. Les malades qui s'y baignent éprouvent plus de soulagement que lorsqu'ils se contentent de la boire. La quantité d'eau qu'il faut boire dépend du sexe, de la maladie et du tempérament. Il y a des cas où on prescrit jusqu'à 15 à 16 verres chaque matin. Mais cette dose est trop forte pour beaucoup de personnes et on ne le permet qu'après s'être assuré que l'estomac peut la supporter. Le printemps et l'automne sont les deux saisons favorables pour prendre les Eaux...

Vichy , petite ville sur la rive droite de l'Allier, à 75 kilomètres (15 lieues) de Moulins, département de l'Allier. C'est aux environs de cette ville qu'on trouve des sources d'Eaux minérales; elles y sont au nombre de sept. La principale, qui est la plus en utilisée en médecine , et dont on distribue l'Eau dans la plupart des départements, s'appelle la Grande-Grille ; elle est surtout remarquable par une espèce de bouillonnement considérable qui s'opère à sa surface, ce qui paraît être dû à la sortie d'une certaine quantité de fluide élastique qui, en rompant les petites vésicules aqueuses dans lesquelles il était renfermé, se répand ensuite dans l'air atmosphérique avec lequel il se mêle bientôt. Toutes les Eaux des sources de Vichy, excepté une, ont une température plus chaude que celle de l'atmosphère ; il s'en trouve même qui font monter le thermomètre à 40 degrés. Elles sont limpides et sans odeur bien marquée; leur saveur est alcaline , mais non pas d'une manière désagréable. En recueillant tout ce qui a été publié sur l'analyse des Eaux de Vichy, on voit qu'elles contiennent du carbonate de soude en excès, et une petite quantité de carbonate de chaux. C'est à la présence du premier de ces sels qu'elles doivent leur saveur principale, et peut-être même leurs propriétés; car il ne faut compter pour rien le fer, le soufre et le nitre que quelques personnes ont prétendu y avoir trouvés, et que certainement elles ne contiennent pas.
On place l'Eau de Vichy au nombre des meilleurs apéritifs et diurétiques auxquels on puisse avoir recours. On veut aussi qu'elle soit tonique , stomachique et céphalique ; mais ce qui la rend, surtout, recommandable, c'est qu'elle est décidément purgative, surtout quand on en prend plusieurs verres le matin à jeun. Souvent on la conseille dans les embarras des reins et de la vessie dans le traitement de la fièvre quarte et autres intermittentes , et surtout dans la paralysie. Des médecins dignes de foi assurent que l'Eau de Vichy me convient pas à tous les tempéraments, et qu'elle devient nuisible surtout aux personnes maigres et délicates, à celles attaquées de scorbut et de maladies de poitrine , et qu'en général elle doit être proscrite dans les maladies nerveuses. Si les observations d'après lesquelles on a établi ces données sont exactes , il en résulte nécessairement que l'Eau de Vichy ne doit être prise que d'après l'avis d'un médecin assez habile pour juger des cas où l'emploi de ce remède n'est sujet à aucune espèce d'inconvénient. L'Eau de Vichy, et surtout celle des fontaines dont la température est la plus élevée, peut être prise en bains. Il est même vraisemblable que, mise en usage de cette manière , elle facilite l'action de celle qu'on prend en boisson. On conçoit aussi que sa qualité, décidément alcaline, doit produire de bons effets dans quelques maladies externes, mais encore, dans ce cas, faut-il en user modérément, afin d'éviter des répercussions trop subites qui pourraient donner lieu à des accidents très graves, et auxquels il serait peut être très-difficile de remédier. La dose qu'on doit prendre de l'Eau de Vichy chaque matin , ne peut être déterminée que d'après l'effet qu'on éprouve les premiers jours qu'on prend ce remède.

Neris est un bourg de 8 à 900 habitants, situé dans le département de l'Allier. Il est à une lieue de Montluçon, à 14 de Clermont à 18 de moulins et à 70 de Paris. Néris, ville d'une ancienneté gauloise, était on pense la Gergovia Boiorum. Les Romains l'appelaient Nerius, Nerisius, Aquae Neri ou Neriensis Vicus. Les thermes de Neris-les-Bains seront construits en 1830 (des thermes romains ont été découverts lors de fouilles, mais leur restauration aurait été trop coûteuse) L'eau de Neris, à 53°, faiblement minéralisée, contient une petite quantité de sulfate de soude, mais en proportion trop faible pour produire un effet laxatif. Les eaux de Neris figurent dans la classe des salines. Elles sont éminément calmantes et toniques en même temps. Administrées à une température élevée, elles ont une grande puissance contre toutes les affections rhumatismales et lorsqu'elles sont dépouillées d'une partie de leur calorique, elles exercent une action remarquable sur le système nerveux. Dans le premier cas, elles excitent, activent la circulation, augmentent les fonctions de la peau, raniment la vitalité des tissus ainsi que l'énergie musculaire. Dans le second cas, elles calment, délassent, lubrifient les tissus et dissipent les douleurs. Prises en boisson, elles exercent sur l'estomac une action digestive prononcée. A petites doses, elles constipent un peu. Les eaux de Neris ont une propriété cicatrisante des plus remarquables : les plaies, même anciennes et de mauvaise qualité, se guérissent rapidement sous leur influence.
Maladies traitées à Néris :
Deux grandes catégories de malades se remarquent à Néris : 1° les personnes atteintes de maladies rhumatismales et de leurs nombreux dérivés. 2° ceux atteints de maladies nerveuses, gastro-intestinales, goutteuses, cutanées et génito-urinaires.

Châteldon est une petite ville du Bourbonnais, département du Puy-de-Dôme, à 15 kilomètres (trois lieues) de Vichy, et à 70 kilomètres (14 lieues) de Moulins. On y trouve deux sources qui ne sont pas également abondantes. Mais l'Eau qu'elles fournissent a une saveur aigrelette, piquante et ferrugineuse. Il résulte, tant de l'analyse faite par M. Debrest, médecin , que de celles publiées par plusieurs chimistes distingués, que l'Eau de Châteldon contient du carbonate de magnésie, du carbonate de chaux, du muriate de soude, du carbonate de fer, et une assez grande quantité d'acide carbonique en excès. C'est à la présence de ce dernier , que cette Eau doit sa saveur piquante, qu'elle perd promptement quand on l'expose à l'air ou qu'on la conserve dans des vaisseaux mal bouchés. Dans ce cas, on voit la liqueur se troubler, et bientôt après il se sépare un précipité jaune très-léger, qui n'est autre chose que de l'oxyde de fer que l'acide carbonique tenait auparavant en dissolution, et avec lequel il formait un véritable carbonate. En comparant les produits de l'analyse des Eaux de Châteldon avec ceux de l'Eau de Spa, on trouve qu'ils sont, à peu de chose près, semblables; en sorte qu'il serait possible de substituer l'une à l'autre avec d'autant plus de raison qu'elles jouissent des mêmes propriétés. M. Debrest prétend cependant que celles de Châteldon sont préférables, à cause qu'elles contiennent un peu moins de fer. C'est à l'expérience à prononcer si l'opinion de ce médecin est bien fondée. Quoi qu'il en soit, on assure que les Eaux de Châteldom sont calmantes, rafraîchissantes , apéritives, diurétiques et antispasmodiques. On prétend aussi qu'elles conviennent dans les palpitations de cœur, et surtout dans les affections mélancoliques, et dans toutes celles qui proviennent des maladies du foie. Les femmes qui ont des fleurs blanches, et dont les règles m'ont pas leur cours ordinaire, éprouvent beaucoup de soulagement de l'usage de ces Eaux. Depuis quelques années, on a essayé de transporter les Eaux de Châteldon dans différents départements de la France ; mais on a observé qu'elles n'arrivaient jamais aussi pourvues de gaz que celles qui sont puisées à la source, quelques précautions qu'on prenne de tenir les bouteilles qui les contiennent exactement bouchées. Ces Eaux doivent être prises froides, autrement on ferait dissiper l'acide carbonique dont elles sont surchargées, et alors elles perdraient toutes leurs propriétés.

Bellevue-les-Bains est une petite ville située dans le département de Saône-et-Loire à 5 kilomètres (une lieue) de la Loire, du côté de l'est, et à 35kilomètres (sept lieues) de Moulins, du même côté. C'est dans le milieu d'un vallon qui est au pied du monticule sur lequel est bâtie cette petite ville, que sortent les Eaux minérales dont il s'agit. Elles fournissent plusieurs fontaines où l'on va puiser les Eaux dont font usage les malades. Il y avait autrefois deux bains qui, à cause de leur magnificence, étaient regardés comme un ouvrage des Romains; mais il paraît qu'on a négligé leur entretien ; aussi sont-ils maintenant presque détruits, Ces Eaux ont à peine une saveur sensible; mais elles sont chaudes, Les plus chaudes marquent 46 degrés au thermomètre, et celles qui le sont moins, 3o degrés. On prétend qu'elles contiennent du carbonate de soude et de la terre absorbante ; mais on m'a pas dit de quelle nature était cette terre. Au reste, il est vraisemblable que ces substances y sont en très-petite quantité, puisqu'il est constant que l'eau qui les tient en solution a très-peu de saveur. Les vertus attribuées aux Eaux de Bellevue-les-Bains sont, dit-on, de guérir les fièvres opiniâtres. On assure aussi qu'elles sont diurétiques , diaphorétiques, stomachiques, propres à arrêter les diarrhées et l'écoulement des fleurs blanches : quelques asthmatiques en font usage avec succès. Non-seulement les Eaux de Bellevue-les-Bains se prennent en boisson, mais même encore elles peuvent être employées à l'extérieur en bains et en douches , surtout dans les maladies de peau, la paralysie et les rhumatismes,

C'est dans la province du Nivernais, actuellement département de la Nièvre, que se trouve placé le bourg appelé Pougues. Il est distant de 10 kilomètres (deux lieues) de Nevers et de 20 kilomètres (quatre lieues) de la Charité. La source qui fournit l'eau minérale dont il s'agit est très abondante, et coule également dans tous les temps de l'année. Cette Eau ne jouit peut-être pas de toute la réputation qu'elle mérite, car souvent on en préfère d'autres de son espèce qui certainement ne valent pas autant qu'elle. Ceci tient à quelques considérations particulières, sur lesquelles on ne doit pas insister ici, D'après une analyse qui a été faite avec le plus grand soin, par feu Costel, pharmacien de Paris, très distingué, il résulte que l'Eau de Pougues a une saveur vive et piquante qui doit être attribuée à la présence d'une très grande quantité d'acide carbonique dont elle est super saturée. Elle est d'ailleurs inodore, incolore, et surtout limpide. Elle tient en dissolution une terre absorbante, du fer, du muriate de soude et de l'alkali de la soude. Pour peu qu'on l'expose à l'air, elle s'altère. La terre qu'elle tenait en dissolution vient former à la surface du liquide une pellicule saline qui a été reconnue pour être du carbonate de chaux. Le fer se précipite sous l'état ocreux, et enfin elle perd sa saveur piquante et aigrelette. L'Eau de Pougues doit toujours être bue froide comme toutes celles qui contiennent beaucoup d'acide carbonique. Si on se permettait de la faire chauffer, on hâterait sa décomposition, et dès lors on ne pourrait plus compter sur ses effets. Les propriétés qu'on lui attribue sont de convenir dans les hydropisies, dans les maladies qui proviennent d'obstructions, d'engorgements chroniques et du foie. Elle s'emploie encore utilement dans la néphrétique , les ulcères des reins et de la vessie, la difficulté d'uriner , les écoulements gonorrhéiques invétérés, et surtout lorsqu'il s'agit du relâchement des vaisseaux spermatiques. On la recommande aussi dans les affections hystériques et dans l'hypocondriacie, etc. Les premiers jours qu'on fait usage de l'Eau de Pougues, surtout de celle qui est prise à la source, on éprouve quelquefois un léger mal de tête et une sorte d'ivresse qui heureusement me sont jamais suivis d'accidents fâcheux. Pour éviter ces inconvénients, on peut la couper avec de la même eau qui a été exposée pendant quelque temps à l'air libre. Au reste, les effets dont on vient de parler ne sont pas ordinairement de longue durée; peu à peu les malades s'accoutument à cette boisson, et finissent même par la trouver fort agréable, puisque souvent ils s'en servent pour allonger le vin dont ils font usage à leurs repas, auquel ils donnent , par ce moyen , une saveur analogue à celle du vin de Champagne mousseux.

Le bourg de Saint-Honoré, qui donne son nom aux eaux thermales dont nous allons nous occuper, appartient au département de la Nièvre. Il est situé à treize lieues est de Nevers, huit ouest d'Autun, quatre sud-ouest de Château-Chinon, sept nord de Bourbon-Lancy, dans les montagnes du Morvan, dont la chaîne confine à la Bourgogne. La source des Eaux thermales de Saint-Honoré jaillit par différents endroits très rapprochés, à l'ouest de ce bourg, dans sa partie inférieure d'une petite montagne granitique sur laquelle il est bâti. Elle a l'aspect du midi. On peut évaluer, à quatre pouces , le volume du jet qu'elle fournit. Cette eau prend son cours à l'ouest, et va se perdre dans la Loire. Elle est claire et sans couleur; elle a une odeur sulfureuse; sa saveur est à peine sensible; sa chaleur est de 27 degrés au thermomètre de Réaumur, et de 33 degrés : du thermomètre centigrade ; les variations atmosphériques ne paraissent pas exercer la moindre influence sur sa température. Ces eaux, en détergeant, en amollissant et ouvrant les pores de la peau, doivent favoriser la transpiration, et détruire les humeurs viciées qui peuvent séjourner dans cet organe Cette combinaison savonneuse entre l'alcali, la silice et la matière organique dans ces eaux; leur température presque égale à celle du corps humain, doivent les rendre d'un excellent effet, en douches et en bains, pour les rhumatismes , les engorgements lymphatiques et laiteux qui surviennent aux différentes parties du corps, et surtout aux articulations. La présence des muriate et sulfate de soude doit leur communiquer des vertus diurétiques et fondantes, et celle d'une petite quantité de fer, une légère propriété tonique. L'eau de Saint-Honoré réussit contre les fièvres irrégulières déterminées par la rentrée d'une affection de la peau; contre les fièvres intermittentes , quel que soit leur type, quand elles sont dues à un état nerveux ou à l'embarras des viscères du bas ventre, dans les engorgements anciens du foie, dans les rhumatismes, la goutte, les catarrhes du poumon, de la vessie, dans les obstructions, les maladies dites laiteuses, etc. On l'emploie avec avantage dans les phtisies par cause nerveuse, catarrhale, scrofuleuse, rhumatismale, ou bien lorsqu'elles se montrent à la suite d'une éruption cutanée traitée sans précaution. La classe nombreuse des névroses trouve aussi de grandes ressources dans l'usage de l'eau de Saint-Honoré; elle convient dans l'épilepsie, l'hypocondrie, l'hystérie, la chorée (ou danse de St Guy ), quand ces maladies tiennent à l'exaltation ou à la distribution vicieuse de la sensibilité, quand elles sont occasionnées par la suppression des règles, des hémorroïdes ou d'une éruption cutanée ; on la prescrit utilement dans la chlorose ou pâles couleurs, la leucorrhée ou fleurs blanches, dépendantes d'une atonie générale ou locale, ou bien entretenues par elles, dans tous les vices de la menstruation, et même contre la stérilité, quand cet accident résulte d'un défaut d'énergie de la matrice. Les affections de la peau et du cuir chevelu , dont les variétés sont infinies, le traitement long et difficile, résistent rarement à cette eau thermale. Elle réussit contre les dartres, la teigne, sous quelque forme qu'elles se présentent. Elle guérit la gale récente et ancienne. Elle triomphe des cicatrices adhérentes, des suites de plaies d'armes à feu, de fractures, de luxation, d'entorses, de violentes contusions, On s'en sert avec beaucoup d'avantage contre les ankyloses imparfaites, les tumeurs indolentes, les gonflements, les roideurs des articulations, qu'elles soient dues aux rhumatismes, à la goutte, ou à d'autres causes. Cette eau thermale se prend en boisson , seule ou coupée avec diverses infusions. La dose varie depuis six onces jusqu'à huit livres par jour. On l'administre en bains, en douches, en vapeurs, en lotions.


On pourrait également citer les eaux du Mont-D'Or (Mont-Dore) dans le Puy-de-Dôme, à 35 kms de Clermont, où se trouvent trois sources d'eaux minérales qui sont toutes thermales. Indépendamment de ces trois sources, on en trouve encore deux autres qui sont froides. Prises en boisson, elles conviennent, surtout dans le traitement de la phtisie pulmonaire ; On vante aussi leurs propriétés pour guérir les engorgements schireux et les obstructions invétérées. Mais c'est surtout prises en bain qu'elles produisent de bons effets chez les personnes goutteuses ou attaquées de rhumatismes, principalement lorsqu'aux bains on a soin de réunir les douches.

Et également l'eau de Saint-Myon, village distant de 10 kilomètres (2 lieues) de la ville de Riom, où se trouve la source d'eau minérale. Celle-ci est incolore et transparente. Sa saveur est piquante et aigrelette, à peu près comme celle du vin de Champagne mousseux. L'Eau de Saint-Myon jouit de plusieurs propriétés bien essentielles, telles que celles de rétablir l'évacuation des règles et des hémorrhoïdes, de modérer les pertes utérines et hémorrhoïdales, de guérir les pertes blanches, et de remédier aux gonorrhées trop anciennes.

Sans compter Royat, La Bourboule, Saint Nectaire (63) et également Sail (dans la Loire)