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DORNES

Vous trouverez ci-dessous différentes rubriques pour la commune de Dornes, notamment les tables des registres disponibles en mairie, les personnages célèbres, l'accès aux lieux-dits de Dornes ainsi que les tables de l'enregistrement (lien externe vers le site des archives départementales)...


Cartes postales anciennes



Accès aux tables (et actes) des registres paroissiaux gardés en commune 


Accès aux tables de l'enregistrement de Dornes
(sur le site des archives départementales)

Personnages célèbres



Ancien chef lieu de canton
Maire : Jean-Luc GAUTHIER (depuis 2020)
Site officiel de la commune de Dornes :
http://www.dornes.fr/
Nombre d'habitants : 1219
 carte2small.jpg (91703 octets)

Ouverture tous les jours sauf le samedi
de 9h à 12h et de 14h à 17h. 
Tél : 03 86 50 60 47
mairie.dornes@wanadoo.fr

Accès aux tables de l'enregistrement de Decize (sur le site des archives départementales)

Les tables contiennent par ordre alphabétique et dates des décès les noms, prénoms, professions et domiciles des défunts, l'identité des héritiers, la localisation et la valeur des biens transmis et les dates des déclarations des droits à acquitter.

Périodes disponibles :

  • 1860-1870
  • 1871-1892
  • 1892-1911
  • 1912-1930
  • 1931-1935



    Registres (paroissiaux et d'état-civil) gardés en mairie

    Tables des naissances 
    1681-1687

    Tables des mariages 
    1681-1687

    Tables des décès 
    1681-1687

    Accès aux actes
    1681-1687

    Tables des naissances 
    1688-1695

    Tables des mariages 
    1688-1695

    Tables des décès 
    1688-1695

    Accès aux actes
    1688-1695

    Tables des naissances 
    1696 - 1704

    Tables des mariages 
    1696 - 1704

    Tables des décès 
    1696 - 1704

    Accès aux actes
    1696-1704

    Tables des naissances 
    1705 - 1714

    Tables des mariages 
    1705 - 1714

    Tables des décès 
    1705 - 1714

    Accès aux actes
    1705-1714

    Tables des naissances 
    1715 - 1724

    Tables des mariages
     1715 - 1724

    Tables des décès 
    1715 - 1724

    Accès aux actes
    1715-1724

    Tables des naissances 
    1725 - 1734

    Tables des mariages
     1725 - 1734

    Tables des décès
    1725 - 1734

    Accès aux actes
    1725-1734

    Tables des naissances
    1735 - 1744

    Tables des mariages
     1735 - 1744

    Tables des décès
    1735 - 1744

    Accès aux actes
    1735-1744

    Tables des naissances
    1745 - 1752

    Tables des mariages
     1745 - 1752

    Tables des décès
    1745 - 1752

    Accès aux actes
    1745-1752

    Tables des naissances
    1753 - 1762

    Tables des mariages
     1753 - 1762

    Tables des décès
    1753 - 1762

    Accès aux actes
    1753-1762

    Tables des naissances
     1763 - 1772

    Tables des mariages
     1763 - 1772

    Tables des décès
    1763 - 1772


    Tables des naissances
    1773 - 1782

    Tables des mariages
     1773-1782

    Tables des décès
    1773 - 1782


    Tables des naissances
    1783 - 1792

    Tables des mariages
     1783 - 1792

    Tables des décès
    1783 - 1792


    Tables des naissances
    1793 - 1802
    Tables des mariages + Divorces
    1793- 1802
    Tables des décès
    1793 - 1802


    Actes de naissances
    1803 - 1812
       


    Tables des naissances 
    1813 - 1822
    Actes des mariages  
    1813 - 1822
     


     

     

    Personnages Célèbres :

     

    Claude Fauchet
    Évêque et homme politique français (° 22/12/1744 Dornes  + 1793 Paris

    Prédicateur du roi, il fut démis de ses fonctions en 1788 pour avoir dénoncé le faste de la cour. En 1789, il publia De la religion nationale, où il prônait un catholicisme d'État. Il devint évêque constitutionnel du Calvados en 1791, fut député à la Législative puis à la Convention. Il périt sur l'échafaud avec les Girondins, en faveur desquels il s'était prononcé lors de la journée du 31 mai 1793.

    Né à Dornes le 22 décembre 1744, enfant d’une riche famille de marchands.

    Il entre dans les ordres et se fait remarquer comme prédicateur à la paroisse de Saint Roch à Paris. Lors d’un sermon en présence du roi il dira : " il faut des rois et non des tyrans, il faut des sujets et non des esclaves ". Cette prise de position lui vaudra d’être blâmé. Lors de la convocation des Etats Généraux, il participera très activement aux assemblées de sections et rédigera le cahier de doléance du clergé de Saint Roch. Il sera un des vainqueurs de la Bastille ou il risqua même sa vie. Il défendra des positions très à gauche soutenant à fond les patriotes et sera même accusé de prôner la loi agraire, il utilisera pour développer ses théories un journal appelé la Bouche de fer. Au Club des Jacobins de Paris il précisera sa profession de fois en avril 1791 : " La liberté sans laquelle on n’est pas d’homme ; l’égalité des droit sans laquelle on n’est pas citoyen ; la souveraineté du peuple sans laquelle il n’existe ni liberté ni égalité... ". A cette époque il était encore un patriote au fait de sa popularité. Le 1er mai il sera sacré à Paris évêque constitutionnel da Calvados et en septembre, ce département l’enverra siéger à l’Assemblée Législative le premier sur treize. A l’Assemblée bien que continuant à défendre des positions de gauche, il se rapprochera de Roland et de Brissot. Il déclarera qu’il n’y a pas lieu à mettre en accusation Narbonne et l’aidera à fuir. Cela et ses attaques contre Marat le feront exclure des Jacobins le 17 septembre 1792.

    Mais entre temps il a été réélu à la Convention à nouveau le premier. Dés le début de la session ses positions ne se distingueront plus de celles des Girondins et lors de sa mission dans l’Yonne en octobre il sera un chaud laudateur de Roland, il se montrera très critique envers les taxateurs qu'il qualifiera d’anarchistes. On remarquera qu’il avait alors bien changé et que ses positions " populaires " n’étaient plus que souvenirs. Dans le procès du roi, il refusera d’abord de se prononcer sur la mise en accusation du monarque, puis votera pour l’appel au peuple, la détention et le sursis. Par contre il votera la mise en accusation de Marat. Son " Journal des Amis " créés pour soutenir la Gironde n’eut que peu de succès. Il s’opposera encore au mariage des prêtres et attaquera fermement la Commune de Paris. Il sera donc inclus sur la liste de ceux que les sections désiraient voir exclure de la Convention, pourtant il ne sera pas décrété d’arrestation le 2 juin 1793. Ce n’est qu’après l’assassinat de Marat qu’il fut accusé d’avoir été en relation avec Charlotte Corday et mis en état d’arrestation. Il fut donc assez logiquement inclus dans le procès des Girondins, condamné à mort et exécuté le 10 brumaire de l’an II. On dit qu’avant son exécution il se fit relever de l’apostasie et confessa certains de ses collègues.